Jean Perreau-Pradier, Préfet de La Réunion du 12 juin 1956 au 1 er mars 1963.

Jean Perreau-Pradier.

- Nom : Jean François Pierre Perreau-Pradier.
- Date de naissance : 31 juillet 1911 à Auch, Gers.
- Date de décès : 1981.
- Fonction(s) :
- Attaché au bureau du sénat.
- Préfet dans la Drôme.
- Préfet de la Vendée.
- Préfet de La Réunion.
- Préfet de l’Aisne.


Jean François Pierre Perreau-Pradier, est né le 31 juillet 1911 à Auch dans le département du Gers. Il est le petit fils d'un parlementaire de la IIIe République, et le fils de l'ancien ministre Pierre Perreau-Pradier.

Ce haut-fonctionnaire commence sa carrière comme attaché au bureau du sénat en 1931.

6 octobre 1949, il est nommé Préfet dans la Drôme, poste qu'il occupe jusqu'au 25 avril 1954, son sucesseur Jean Tomasi rentre en fonction le 26 avril.

26 avril 1954, Jean Perreau-Pradier est nommé préfet de la Vendée.

1956, le gouvernement de Guy Mollet décide de nommer Jean Perreau-Pradier préfet à La Réunion, un moyen de contrecarrer le mécontentement croissant de la population réunionnaise, en effet les promesses de 1946 se sont transformées en bulletins de vote de la colère, lors des élections législatives du 2 janvier 1955, deux députés communistes, Raymond Mondon et Paul Vergès sont élus. La Présidence du Conseil fait le choix d'envoyer un nouveau préfet. Jean Perreau-Pradier sera pendant six année 1956 - 1963, le chef d'orchestre d'une campagne résolument hostiles au parti communiste.

Jean Perreau-Pradier arrive en juin à La Réunion et rentre en fonction le 12 juin 1956.

Dès le 17 juillet 1956, le préfet décrit une situation politique locale qui lui semble entièrement sous le contrôle des communistes : "... En face de l'action extrémiste, développée surtout par le député Paul Vergès, je ne trouve qu'une action très limitée, peu dynamique et mal coordonnée. En effet, alors que les communistes se partagent les rôles, M. Mondon sur le plan parlementaire est à Paris, M. Vergès sur le plan de la politique locale et surtout de l'action syndicale, le député Babet est à Paris, ainsi que M. Repiquet sénateur et M. Isautier, conseiller de l'Union française. Certes M. Cerneau, sénateur est à La Réunion, mais depuis quelques jours à peine et pour peu de temps. M. Cerneau essaye bien de regrouper les éléments anti-communistes, mais il ne pourra, en quelques semaines, égaler l'activité incessante qui est celle de M. Paul Vergès, depuis plus de huit mois... "

Jean Perreau-Pradier

Paul Paul Vergès analyse la situation politique de La Réunion en 1956 : " Élu député et, depuis mon retour, directeur de Témoignages, j'estimais avoir toutes les cartes en main sur le plan politique. Il n'en était évidemment pas de même pour ce qui était des leviers du pouvoir économique et administratif. Dès juin 1956, un nouveau préfet a été nommé, Perreau-Pradier, dont l'objectif avoué était de combattre le Parti. Il s'est ensuivi une période difficile, très violente, très radicale. L'île était partagée en deux camps complètement antagonistes : la droite conservatrice soutenues par les autorités et le clergé d'une part et les communistes d'autre part. Cette longue crise a cependant eu des conséquences positives puisqu'elle nous a permis de renouveler l'appareil du Parti et de nous installer durablement dans le paysage de la Réunion. "

4 novembre 1956, l'intervention militaire soviétique en Hongrie est l'occasion pour le préfet de relancer une dynamique anticommuniste. Face à Témoignages qui, condamnant le " fascisme en Hongrie " apporte son soutient à l'URSS, Perreau-Pradier fait un appel à la radio, de même que l'évêque Monseigneur Cléret de Langavant, pour appeler les Réunionnais à la solidarité avec les Hongroies. 1 611 700 F sont collectés en faveur des victimes des évènements de Hongrie.

1956, Le Maloya est interdit sur l’île par l’administration française. Accaparé et porté par le parti Communiste Réunionnais, le maloya sera victime de la censure et des réactions hostiles d'une grande partie de la population, jusqu'à sa reconnaissance officiel en 1981.

30 août 1957, victime d'un arrêt cardiaque, le député du Rassemblement des gauches républicaines, Raphaël Babet décède dans sa ville de Saint-Joseph. Le préfet anti-communiste Perreau-Pradier, met tout en oeuvre pour contrer le partie communiste qui a les deux autres sièges de la députation avec Paul Vergès et Raymond Mondon. Le remplacement de Babet doit s'effectuer par une législative partielle en novembre. Dans ce scrutin à la proportionnelle le contrôle des mairies est décisifs.

Perreau-Pradier s'attache tout d'abord à reprendre la maire de Saint-André suite au décès du maire Raymond Vergès, le 2 juillet 1957. Obtenant tout d'abord la démission de huit conseillers non communistes, le préfet nomme une délégation spéciale autour d'Armand Barau, directeur de l'usine sucrière de Bois Rouge. Puis il soutient la candidature de Jean Ramassamy qui enlève la mairie par un véritable coup de force électorale le 15 septembre 1957. La liste communiste dirigée par Paul Vergès, avec seulement 2,3 % des voix, n'obtient aucun conseiller.

14 novembre 1957, soit trois jours avant l'élection législative, Perreau-Pradier dissout la municipalité communiste de La Possession et la remplace par une délégation spéciale.

17 novembre 1957, législative partielle, Marcel Cerneau obtient 67 452 voix sur 93 414 suffrages exprimés, il est élu député face au communiste Jean Hinglo. Les communistes déposent un recours en annulation de l'élection législative. L'assemblée nationale débat de la question le 18 février 1858.

18 février 1958, l'Assemblée nationale débat de la question des élections législatives de La Réunion du 17 novembre 1956, en effet les communistes demandent l'annulation des élections. Législative partielle, Marcel Cerneau obtient 67 452 voix sur 93 414 suffrages exprimé, il est élu député face au communiste Jean Hinglo.

Le rapporteur chargé des opérations électorales, Joseph Fontanet, intervient le premier pour reconnaître que les conditions d'un scrutin incontestable étaient loin d'être réunies : " il est, certes, regrettable que les chiffres décomptés dans certains bureaux de vote apparaissent peu vraisemblables, et tendent à laisser peser une présomption d'irrégularité sur certains résultats locaux. Cependant de tels résultats peuvent être observés aussi bien dans les communes favorables à M. Hinglo que dans les communes favorables à M. Cerneau ".

Joseph Fontanet demande la validation.

Succédant au député communiste de La Réunion Raymond Mondon, les députés métropolitains communistes Robert Ballanger, Duclos et Maurice Kriegel Valrimont attaquent violemment Marcel Cerneau et fustigent le rôle tenu par le préfet de La Réunion, Perreau-Pradier.

Emmanuel d'Astier de la Vigerie conclut les débats en rappelant à l'assemblée le rôle de juge impartial qu'elle se doit de tenir en la matière : " J'ai remarqué que M. Cerneau et M. Ballanger sont d'accord au moins sur un point, à savoir que les élections de La Réunion ont été parfaitement truquées. L'un dit qu'elles ont été truquées au profit des communistes ; l'autre qu'elles l'ont été au profit de M. Cerneau. Je m'étonne qu'ils ne se rejoignent pas dans la seule conclusion logique : la nomination d'une commission d'enquête pour savoir si réellement ces élections ont été truquées ou non ".

L'Assemblée se range finalement, par 199 voix contre 179, à cet avis et décide de l'envoi d'une commission parlementaire.

15 mars 1958, la commission d'enquête de dix députés arrive à La Réunion. Elle repart le 23 mars 1958, elle n'a jamais rendu ses conclusions du fait des évènements de mai, juin 1958. Le 1er août 1958, Marcel Cerneau est reconnu comme député légitime à l'unanimité moins deux voix.

29 mai 1958, le président de la République, René Coty, fait appel " au plus illustre des Français ". Charles de Gaulle accepte de former un gouvernement, qui est investi par l'Assemblée nationale le 1er juin, par 329 voix sur 553 votants. Le général de Gaulle devient ainsi le dernier président du Conseil de la IVe République. Les députés lui accordent la possibilité de gouverner par ordonnance pour une durée de six mois, et l'autorisent à mener à bien la réforme constitutionnelle du pays.

Les réactions à La Réunion concernant les évènements de mai 1958.

Le préfet Perreau-Pradier en parle dans un rapport : " Les évènements ... provoquèrent un clivage immédiat de la population en deux fractions : communistes d'une part et tous ceux, d'autre part, que leur anticommuniste faisait se regrouper, de plus ou moins bonne grâce, sous l'étiquette de Gaullistes. L'opinion publique, d'abord calme, s'échauffa peu à peu au cours de la semaine qui suivit les évènements d'Alger, et les sentiments de chacun prirent une allure passionnée, lorsque furent connus les évènements d'Ajaccio ; je lançai un appel au calme et interdis les réunions publiques ; le résultat fut immédiat et le calme rétabli fut très rapidement consolidé par l'investiture accordée par l'Assemblé nationale au gouvernement du général de Gaulle..." .

12 février 1959, le gouvernement démet de ses fonctions le Conseil municipal de Saint-Paul et nomme une délégation spéciale.

Article du Journal réunionnais témoignages du samedi 14 février 1959 : "... Sur le rapport du préfet Perreau Pradier, le conseil des ministres a décidé la dissolution de la municipalité de Saint-Paul à trois semaines du scrutin du 8 mars ! ... La nouvelle que chacun attendait a été diffusé par la radio hier matin : le conseil des ministres, réuni jeudi sous la présidence du Général de Gaulle, Président de la République a décidé, sur rapport du ministre de l'intérieur, la dissolution du conseil municipal de Saint-Paul. Ainsi par la pression, la corruption ou l'abus de confiance, des démissions ont été obtenues ou extorquées depuis plusieurs semaines à Saint-Paul. Malgré les plaintes et protestations des intéressés, le préfet, n'ordonnant aucune enquête, considérait les démissions comme définitives. Mais il n'en restait pas moins que quinze conseillers de la majorité sur dix-neuf. C'est à dire 80 % avaient manifesté, il y a quelques jours, au Président de la République et au ministre de l'Intérieur leur volonté de conserver leur mandat. Et ils étaient 15 conseillers sur un Conseil Municipale de 27 membres soit 55 %. C'est à dire plus que la moitié du Conseil, minimum exigé par la loi pour le maintient en place d'une municipalité...".

19 septembre 1960, arrêté qui désigne le préfet de La Réunion pour administrer les îles Éparses : " Jusqu’à une date qui sera fixée par un arrêté ultérieur, l’administration des îles Tromelin, Glorieuses, Juan de Nova, Europa et Bassas da India est confiée au préfet du département de La Réunion en tant que délégué du Gouvernement de la République. À ce titre, le préfet relève directement du ministre d’État ".

15 octobre 1960. Ordonnance Debrè. Prise par le Premier ministre Michel Debré, en vertu de la loi du 2 février 1960, l'ordonnance Debré est une ordonnance qui autorise les pouvoirs publics français à procéder à l'exil forcé en métropole des fonctionnaires de l'outre-mer troublant l'ordre public. L'ordonnance pose que : " les fonctionnaires de l'État et des établissements publics de l'État en service dans les DOM dont le comportement est de nature à troubler l'ordre public peuvent être, sur la proposition du préfet et sans autre formalité, rappelés d'office en Métropole par le ministre dont ils dépendent pour recevoir une nouvelle affectation. Cette décision de rappeler est indépendante des procédures disciplinaires dont ces fonctionnaires peuvent faire l'objet. Elle est notifiée par l'intermédiaire du Préfet qui peut prendre toutes mesures nécessaires à son exécution. "

30 mai 1961, Jean Perreau-Pradier fait procéder le mardi à la saisie du journal communiste " Témoignages" pour la simple raison que le mot "autonomie" y figure dans la phrase suivante : " Les candidats communistes dénoncent le colonialisme et réclament l’autonomie ". Le Journal Témoignages fait l’objet de pas moins de 13 saisies, du 30 mai 1961 au 2 mars 1963, sur ordre du préfet Jean Perreau-Pradier. Ces saisies de “ Témoignages ” sont autant d’expressions d’un " abus de pouvoir caractérisé et illégal ", reconnaît le Conseil d’État dans un arrêt rendu le 1er décembre 1965.

1961, Le préfet de La Réunion, Jean François Pierre Perreau-Pradier, applique l'ordonnance Debré. Il renvoie en métropole de 1961 à 1962 treize fonctionnaires communistes agitateurs :

En février 1961 :
- Boris Gamaleya, professeur de collège et son épouse Clélie Gamaleya, professeur certifiée de Lettres.

En août 1961 :
- Bernard Gancarski, professeur de l'Enseignement Technique.
- Georges Thiebaut, inspecteur des Douanes.
- Gervais Barret, professeur de collège et son épouse Nelly Barret, institutrice.
- Jean-Baptiste Ponama, professeur de collège.
- Jean Le Toullec, adjoint technique de l'Équipement.
- Joseph Quasimodo, agent du Trésor.
- Max Rivière, professeur de collège.
- Pierre Rossolin, inspecteur des PTT.
- Roland Robert, professeur de collège.

En 1962 :
- Yvon Poudroux, agent de la Direction Départementale de l'Équipement.

A noter également que le 16 juin 1961, Paul Vergès est inculpé pour atteinte à la sûreté de l'État pour avoir réclamé l'autonomie de La Réunion.

1 er janvier 1962, le préfet de La Réunion, Jean Perreau-Pradier est décoré de la Légion d'honneur par Michel Debré.

Grand salon Hôtel de la Préfecture de Saint-Denis de La Réunion

Juillet 1962, le communiste Robert Balanger, président du groupe parlementaire PCF, évoque officiellement le question de l'autonomie dans les DOM. Lors d'une question posée au premier ministre Georges Pompidou, il s'interroge : " Constatant la faillite de la départementalisation ou de l'assimilation adaptée, le gouvernement envisage-t-il de déposer un projet de loi tendant à permettre à la Guadeloupe, Martinique, Guyane et Réunion de gérer elles-mêmes et démocratiquement leurs propres affaires et d'entretenir avec la France de nouveaux rapports débarrassés de tous liens de caractère colonial ? ".

20 juillet 1962, le Journal de l'île de La Réunion ( JIR ) avec l'appui du préfet proteste violemment. Le directeur du Journal dans un éditorial accuse les communistes et leur reproche de " vouloir arracher leur qualité de Français aux 360.000 Réunionnais ". Une campagne de cartes postales est lancée. Le texte est le suivant: " Les Réunionnais ne permettront pas au député communiste Robert Ballanger de commettre son crime contre leur île. Nous voulons rester département FRANÇAIS. La carte est à adresser au Président de La République.

Novembre 1962, les élections législatives se déroulent dans un climat particulièrement houleux. Dans la première circonscription se présente le leader communiste Paul Vergès opposé à deux candidats Gabriel Macé ( Républicain Indépendant ) et David Moreau ( UNR ).

Bureaux de vote fermés, lignes téléphoniques coupés, irrégularités, il est évident que cette élection de la première circonscription va être invalidée.

Sont élus comme députés :
- dans la première circonscription Gabriel Macé.
- dans la deuxième circonscription Marcel Vauthier ( MRP ).
- dans la troisième Marcel Cerneau ( Rassemblement démocratique ).

Mais la fraude électorale est si flagrante que le Conseil Constitutionnel annule les résultats de la première et de la deuxième circonscription.

21 janvier 1963, le préfet de La Réunion, Jean Perreau-Pradier annonce dans une conférence de presse son rappel en métropole et son remplacement par Alfred Dieffenbacher. Il reste en poste jusqu'au 1 er mars. En réalité il est muté en métropole en raison de son implication dans les fraudes électorales.

30 janvier 1963, Paul Vergès, est en métropole pour défendre son recours administratif suite à l'élection de novembre 1962, Il se voie interdire par la police de l'air de quitter le territoire national pour rejoindre La Réunion. On indique au ministère de l'Intérieur que cette interdiction a été prise à la demande du préfet de La Réunion par mesure de sécurité en vertu de la Loi sur l'état d'urgence.

Le journal Témoignages, s'indigne : " Ouvriers, planteurs réunionnais, protestez partout ! Imposez le respect de nos droits et de nos libertés de Créoles contre l'arbitraire colonial. Exigez le retour de Paul Vergès ". Le Progrès, aux termes plus mesurés, dénonce quand à lui l'erreur politique grave que constitue une telle mesure. " La première idée qui vient à l'esprit est simple : on veut l'empêcher de prendre part aux élections législatives partielles ".

En métropole la presse s'empare également du problème. Libération : " On notera qu'en décrétant ici que La Réunion, réputée département d'outre-mer, ne fait pas partie du territoire national, le ministère de l'intérieur se rend coupable d'une atteinte caractérisée à l'intégrité du dit. En même temps que d'une inadmissible entrave à la liberté d'un citoyen contre lequel n'a été relevé aucune charge légale ".

Le secrétaire général du P.C.R. porte plainte contre X pour atteinte à la liberté individuelle, et introduit un recours devant le Tribunal administratif.

Cette mesure permet d'éviter la présence du leader communiste sur le terrain alors que s'organise la campagne en vue des législatives partielles. Le secrétaire général du P.C.R. doit attendre le 22 février 1963 pour voir annuler les poursuites à son encontre, c'est à dire le jour de l'annulation officielle des élections de novembre 1962. Le 25 février le juge Corbeil rend à Paul Vergès son billet pour son retour à La Réunion.

De toute évidence, le gouvernement ne peut se permette de maintenir plus longtemps Paul Vergès en métropole. Il le peut autant moins que les hautes instances de l'Etat étaient au courant de l'éventualité d'une candidature Debré à La Réunion. En effet le 26 février 1963, Georges Repiquet, sénateur de La Réunion est reçu par le Président de La République, il déclare : " voici pour mémoire ce que le Général de Gaulle m'a dit. La Réunion c'est la France. Je n'ignore pas que vous ayez des problèmes et que ces problèmes vous préoccupent en raison de leur importance, mais la France est un grand pays et peut les solutionner. Une chance s'offre à vous pour les résoudre, c'est la présence de M. Debré. Je serai tout disposer à conseiller à Debré de poser sa candidature à La Réunion, à la condition expresse que La Réunion, à l'exception des communistes souhaite sa candidature ".

1 er mars 1963, le préfet de La Réunion Jean François Pierre Perreau-Pradier quitte l'île.

Il est nommé préfet de l’Aisne rentre en poste le 14 mars 1964 le quitte le 4 décembre 1969.

Perreau-Pradier est par la suite membre du parti gaulliste, président du comité UDR. de Vervins en 1973 puis de la Picardie en 1975.

Il est candidat U.N.R. en mars 1973 aux élections législatives dans la 3e circonscription de l'Aisne, puis en 1978, il est battu à chaque fois.

Il est candidat aux élections législatives de juin 1981 dans la deuxième circonscription de La Réunion, et n'obtient que 2.11 % des suffrages exprimés au premier tour. Résultats des élections législatives de juin 1981 à La Réunion.

Jean François Pierre Perreau-Pradier décède en 1981.

Liste chronologique des Préfets de La Réunion



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